Conformément à la politique de développement durable de plus en plus ancrée dans les moeurs, l'environnement suscite un intérêt croissant visible dans le domaine de la formation.
"Les perspectives professionnelles liées à l'environnement sont très diverses. Tous les domaines sont touchés. Quelques exemples de débouchés : responsable environnement dans une entreprise, conseil en environnement, promotion de services durables, sylviculture FSC, ...", déclare Ingrid Fumasoli, responsable romande du cycle de formation Conseil et communication en environnement du WWF. Cette formation composée de 59 journées de cours sur une durée de 14 mois prépare au brevet fédéral de conseiller en environnement. "Nous recevons en moyenne plus de 65 dossiers pour 24 places", indique Ingrid Fumasoli.
Ecofoc, la formation continue de l'Université de Neuchâtel en écologie et science de l'environnement, compte quant à elle entre 25 et 35 participants chaque année. "Les profils sont extrêmement divers, universitaires ou non, en provenance de toute la Suisse romande. Certains sont indépendants, employés d'entreprises privées ou de l'administration. Nous avons des biologistes, géologues, chimistes, enseignants, guides touristiques, architectes, forestiers, économistes, géographes, infirmiers, agriculteurs, ... Plusieurs participants sont également des élus dans leur commune", note le responsable du programme Pierre Gigon.
Anne-Christine Chappot, la responsable du domaine "entreprises avec plus-value durable" du Sanu, confirme la tendance mise en évidence par ses homologues : "Le public s'élargit à différents domaines. Les cadres des entreprises veulent de plus en plus ajouter une corde verte à leur arc", indique-t-elle à titre d'exemple.
"Les perspectives professionnelles liées à l'environnement sont très diverses. Tous les domaines sont touchés. Quelques exemples de débouchés : responsable environnement dans une entreprise, conseil en environnement, promotion de services durables, sylviculture FSC, ...", déclare Ingrid Fumasoli, responsable romande du cycle de formation Conseil et communication en environnement du WWF. Cette formation composée de 59 journées de cours sur une durée de 14 mois prépare au brevet fédéral de conseiller en environnement. "Nous recevons en moyenne plus de 65 dossiers pour 24 places", indique Ingrid Fumasoli.
Ecofoc, la formation continue de l'Université de Neuchâtel en écologie et science de l'environnement, compte quant à elle entre 25 et 35 participants chaque année. "Les profils sont extrêmement divers, universitaires ou non, en provenance de toute la Suisse romande. Certains sont indépendants, employés d'entreprises privées ou de l'administration. Nous avons des biologistes, géologues, chimistes, enseignants, guides touristiques, architectes, forestiers, économistes, géographes, infirmiers, agriculteurs, ... Plusieurs participants sont également des élus dans leur commune", note le responsable du programme Pierre Gigon.
Anne-Christine Chappot, la responsable du domaine "entreprises avec plus-value durable" du Sanu, confirme la tendance mise en évidence par ses homologues : "Le public s'élargit à différents domaines. Les cadres des entreprises veulent de plus en plus ajouter une corde verte à leur arc", indique-t-elle à titre d'exemple.
LP
Article également publié dans le guide de la formation