Une étude de PwC montre que 18% des entreprises suisses souhaitent créer de nouveaux emplois. Ce chiffre est inférieur à la moyenne européenne (23%) et à la valeur obtenue l'année passée (30%). "Nous tablons sur une demande particulièrement forte dans les secteurs des services, des technologies et de l'outillage", déclare Andrew Chapman, responsable des services des ressources humaines de PwC Suisse.
En revanche, un très faible pourcentage des sociétés sondées indique vouloir licencier des collaborateurs -2% contre 16% en 2009 et les 11% européens-.
Les responsables RH des entreprises suisses interrogées tablent en majorité sur des effectifs stables (66%), un pourcentage légèrement supérieur au résultat enregistré pour l'Europe.
L'étude révèle également le problème du manque de personnel spécialisé, une préoccupation prioritaire pour la moitié des représentants du panel suisse (Europe : 46%). Suivent : la mobilité mondiale (22%) et les restrictions budgétaires (18%).
Malgré sa position de leader dans le domaine de la formation des collaborateurs, la Suisse n'a pas un réservoir de talents suffisant et doit de ce fait se donner les moyens d'attirer des ressortissants d'autres pays. Ceci passe par la proposition de salaires concurrentiels au niveau international et la mise en place de conditions cadres souples pour le recrutement précise le communiqué de PwC.
En revanche, un très faible pourcentage des sociétés sondées indique vouloir licencier des collaborateurs -2% contre 16% en 2009 et les 11% européens-.
Les responsables RH des entreprises suisses interrogées tablent en majorité sur des effectifs stables (66%), un pourcentage légèrement supérieur au résultat enregistré pour l'Europe.
L'étude révèle également le problème du manque de personnel spécialisé, une préoccupation prioritaire pour la moitié des représentants du panel suisse (Europe : 46%). Suivent : la mobilité mondiale (22%) et les restrictions budgétaires (18%).
Malgré sa position de leader dans le domaine de la formation des collaborateurs, la Suisse n'a pas un réservoir de talents suffisant et doit de ce fait se donner les moyens d'attirer des ressortissants d'autres pays. Ceci passe par la proposition de salaires concurrentiels au niveau international et la mise en place de conditions cadres souples pour le recrutement précise le communiqué de PwC.
LP