Mais la crise c'est aussi l'opportunité de faire plus fort, de se diversifier et/ou de pouvoir se concentrer sur ce qui nous convient le mieux. De plus en plus d'écoles se rendent concrètement compte de ce phénomène à travers l'explosion du nombre d'inscrits ; pour réussir, les formations continues constituent ce qu'il y a de plus complet en matière d'acquis, de savoir, de qualité, sans devoir sacrifier une année à plein temps. Il existe d'autres possibilités qui sont moins coûteuses et tout aussi intéressantes : les séminaires, rencontres et autres inscriptions à des associations de branches. Dans ce deuxième cas, le but poursuivi est différent, car il ne s'agit pas d'étoffer son curriculum vitae, mais bien d'agrandir son réseau.
Dans une situation économique en crise, l'image du verre d'eau remplit à demi est récurrente, mais tellement réelle : ce dernier est-il à moitié plein ou à moitié vide ? Il y a un point de vue que l'on oublie souvent dans cette hypothèse : il est tel qu'il est et il faut en prendre acte. Ainsi l'on peut mettre en lumière l'avis des optimistes, des pessimistes et des réalistes. Les premiers réussissent à avancer avec plus d'entrain, parfois tellement même qu'ils sont décalés de la réalité, les seconds avancent pas à pas, de manière très (trop) prudente et peuvent laisser passer des opportunités et les derniers sont plus terre à terre et se créer leur chemin au gré des courants.
