Pour les jeunes qui achèvent leur scolarité, entrer dans le monde du travail n’est pas toujours évident. La manifestation la «Nuit de l’apprentissage» leur permet de décrocher une place de manière innovante.
Pour beaucoup de jeunes, l’heure est au choix d’une carrière, bien souvent par la voie de l’apprentissage. Ceux qui ont une idée assez claire du domaine dans lequel ils souhaitent s’orienter doivent désormais se livrer au difficile exercice des postulations. Pourtant, il est possible de décrocher une place beaucoup plus facilement, en participant à la «Nuit de l’apprentissage»! Cet événement fonctionne selon le principe du job dating – une sorte de speed dating professionnel – et permet de rencontrer plusieurs recruteurs durant une même soirée.
Pour participer, c’est tout simple. Le jeune doit s’inscrire par Internet et choisir 1 ou 2 métiers qui l’intéressent. Les organisateurs fixent ensuite des rencontres avec des recruteurs, lesquelles se dérouleront lors de la Nuit de l’apprentissage le 15 février. Chaque entretien durera 10 minutes. Le candidat, armé de son dossier complet (CV, lettre de motivation, etc.), aura pour tâche de se faire embaucher.
Les avantages de cette session de job dating sont nombreux: les jeunes peuvent rencontrer facilement des recruteurs, découvrir des entreprises et même se faire conseiller pour la réalisation de leur dossier de candidature. D’ailleurs, depuis son lancement en 2015, la manifestation rencontre un franc succès, avec plus de 1000 inscrits chaque année.
La 3e édition de la Nuit de l’apprentissage aura lieu mercredi 15 février de 17 à 20h dans 4 lieux différents: l’EPSIC à Lausanne, le CEPM à Morges, le CEPV à Vevey et le CPNV à Yverdon-les-Bains. 21 professions seront proposées, dont celles d’employé de commerce, d’informaticien ou encore de mécanicien. Les jeunes doivent s’inscrire du 9 au 20 janvier sur le site web de la manifestation. Les noms des entreprises participantes seront dévoilés le 23 janvier.
Plus d’informations sur : www.4saisonsapprentissage.ch/nuitapprentissage/
Christelle Genier
