Sur le site de l'UDC, nous pouvons lire que l'ouverture des pays de l'Est entraînerait "plus de chômeurs, salaires plus bas, oeuvres sociales ruinées, criminalité en hausse". Au lieu de suivre les points négatifs, énumérés par la frange d'une certaine droite, voyons, au contraire, la possibilité pour les roumains ou bulgares les plus qualifiés d'apporter un coup de pouce à notre économie via, entre autre, leur savoir-faire. En effet, la Roumanie et la Bulgarie possèdent une économie florissante; de surcroît, la libre circulation des personnes, ainsi que les autres accords des Bilatérales I, créent des conditions concurrentielles favorables pour les entreprises en Suisse. D'autres partis préconisent l'acceptation de cette initiative pour permettre aux accords bilatéraux d'être toujours opérationnels. En effet, une réponse négative des électeurs remettrait en cause les efforts édifiés jusqu'à aujourd'hui, avec Bruxelles, en la matière
Bien évidemment, des deux côtés, les arguments donnés ne sont de loin pas leurs seules clés de voûte ; il ne s'agit que de l'idée générale qui ressort des diverses campagnes publicitaires que l'on peut voir dans les quatre coins de la Suisse.